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Un juste authentique - HaRav Nissim Amsellem Zatsal
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Un juste authentique - HaRav Nissim Amsellem Zatsal

 

לעלוי נשמת מור אבי הקדוש עט"ר הרה"ג הצדיק החסיד והעניו
רבי נסים אמסלם זצוק"ל וזיע"א

 

A propos des Tsadikim il est écrit (Yirmiya / Jérémie 7,4) : Ils sont le heykhal (sanctuaire) de Hachem, car sur eux se repose la chékhina de D (la majesté divine). Et cela seulement sur deux membres, le cerveau et le cœur que le sommeil ne touche pas. En effet quand l’homme dort, il rêve, les images du rêve se dessinent dans le cerveau, et il est écrit (Chir Hachirim/Cantique des Cantiques) : « Je dors et mon cœur est éveillé. ». Moa’h (cerveau) et lev (cœur) ont comme valeur numérique quatre-vingt-six, plus les cinq lettres composant ces deux mots, soit quatre-vingt-onze, comme les mots "heykhal Hachem" (sanctuaire).

D’autre part, le cerveau est le siège de la pensée, le cœur celui de l’intention, tous deux n’étant connus que de D. De leur sainteté et pureté, dépend le niveau de prophétie des prophètes. Nous savons que celui de Moché était le plus élevé de tous. C’est donc qu’il avait atteint le plus haut niveau de sainteté et de pureté dans ses pensées et intentions. C’est pourquoi le verset dit : « Dans toute ma maison » là où je réside, cerveau et cœur du tsadik, « il est fidèle » dans leur sainteté et pureté.

C’est pourquoi l’impact des mitsvot et de la prière n’est parfait que si elles sont accompagnées de l’intention juste.  Les Sages enseignent que la prière, ou la mitsva sans intention, est comme un corps sans âme. Par exemple, avant de manger du pain on doit se laver les mains. La nétilat Yadayim, doit être accomplie avec intention, le seul geste de l’ablution ne servant pas à ôter des mains de l’impureté qui y réside et qui, le cas échéant, aurait prise sur les aliments pendant le repas.
Ben Ich ‘Hai, Gallia.

 frise

Rav Nissim AMSELLEM ZatsalEn attendant de vous présenter la biographie בע''ה du Gaon Hatsadik harav Nissim Amsellem Zatsal et le résumé de son long et merveilleux parcours en Algérie, au Maroc, en France et Erets Israël, voici pour commencer en avant-première une histoire récente.

C’était le jeudi 26 mai 2016, une veille de Chabbat. J’avais besoin de faire des courses en ville. Mais, fatigué, je ne pouvais pas prendre ma voiture.

Je descendis de chez moi et montai dans un taxi qui se trouvait à l’arrêt devant l’immeuble. Voilà que sur le téléphone du chauffeur fixé sur le tableau de bord, je vois la photo du Rav Zatsal (mon père), habillé tout en blanc, photo connue et prise lorsqu’il était Sandak. Curieux, mais sans vouloir révéler mon identité, je demande au chauffeur de taxi s’il connait ce Rav qui se trouve sur la photo. Il me répond alors vivement : « Il ne faut pas dire Rav mais ‘’Tsadik amiti ‘’, juste authentique. »

Ne laissant rien paraître je continue à lui poser des questions. Il me dit alors « si vous voulez savoir qui est ce juste à Har Nof, Jérusalem, je vais appeler mon ami Réouven, et il va vous raconter une histoire qui date d’il y a quelques mois ». J’étais ému et en attente de ce que j’allais entendre.

histoire tsadik rav nissim amsallem

Rav Nissim AMSELLEMLe chauffeur appela alors ce Réouven qui nous raconta l’histoire suivante pendant que nous roulions vers la ville : J’ai un ami qui souffrait beaucoup de problèmes de coliques néphrétiques, on l’a donc amené chez le médecin qui lui  conseilla de se faire opérer des reins. Cet ami prit donc rendez-vous pour se faire opérer avec un grand chirurgien. Quelques jours avant l’opération, je lui proposais d’aller prendre la bénédiction d’un grand Tsadik que je connaissais bien à Har Nof. On a alors appelé chez le Rav afin de savoir s’il pouvait nous recevoir. C'est alors qu’une dame nous répondit que le Tsadik était fatigué, au lit, mais qu’elle allait vérifier quand même (cette dame était certainement ma sœur qui s’occupait alors du Rav). Malgré sa fatigue, le Rav décida quand même de se lever pour nous recevoir. C’était un cas d’extrême urgence. La veille de l’opération donc, nous avons été reçus par le Rav pour qu’il nous accorde sa bénédiction. 

Mon ami alla s’asseoir près du Rav qui lui offrit des boissons et des gâteaux. Mon ami lui dit : « Rabbi, je suis désolé, je suis un peu pressé mais j’ai besoin d’une bénédiction pour demain. Je suis pressé car je dois aller à la caisse de maladie pour chercher les derniers papiers avant mon opération ». Le Rav lui dit alors « Restez calme, vous n’avez pas besoin de vous presser et d’aller chercher les papiers, demain matin vous serez guéri et en bonne santé  ב''ה (Avec l’aide de D). Par politesse pour le Professeur qui vous attend depuis des mois, vous annulerez le rendez-vous avec lui ! » Le Rabbi lui répéta « vous n’avez plus besoin d’opération, vous verrez demain ».

Effectivement, le lendemain mon ami ne ressentait plus aucune douleur. Il dit à sa femme : « Je ne me suis jamais senti aussi bien, j’ai pris ce matin mon café, tranquillement, je suis en pleine forme. »

Il appela alors l’hôpital pour annuler son rendez-vous. « Comment Monsieur ? », lui demanda la secrétaire. « Je me sens en pleine forme et je pense que je n’ai plus besoin d’opération ».

Vous comprenez donc maintenant pourquoi ce n’est pas Rav mais un Juste authentique, un Tsadik amiti ! L’histoire terminée j’ai révélé mon identité « Je suis son fils aîné ! ». Le chauffeur et son ami m’ont alors demandé une brakha et Réouven me dit qu’il est prêt à me présenter l’ami qui a été guéri grâce aux prières de mon père.

Je leur répondis « je ne suis même pas la poussière de mon père, qui suis-je pour vous donner une bénédiction » ? Mais sur l’insistance des deux hommes bouleversés et par le mérite de mon vénéré et saint père,  je leur ai prononcé  sa formule magique.

 

Raphael AMSELLEM
Fils du Gaon Hatsadik Rav Nissim Amsellem Zatsal 

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Paru au Journal Officiel du 01/1990
 

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